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Attention site en cours de réaménagement !

 C'est l'automne, envie de voyager dans mes propres collines, de rebidouiller des trucs pour préparer l'hiver, et l'année d'après.

Le Printemps, parce que c'est notre Projeeeeeeeet !

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Les chèvres ont quasiment terminé leur job pour cette année, elles rechignent déjà à manger la ronce. On investit progressivement les deux nouvelles petites serres qui remplacent feu la serrangar qui a profité de la dernière rafale de Ciara pour jouer les filles de l'air.   Titi a déjà réquisitionné une serre pour son potager, et la deuxième abrite nos outils et une réserve de bouts de machins. Serres de rien, consolidées aux entournures au ruban adhésif entoilé.  

Cuisine des sous-bois : l'évier

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De nombreuses semaines se sont écoulées depuis un changement d'emplacement de la cuisine, qui s'avère confortable.  En voici deux images. Des tronçons de trogne, des palettes, un vieux bac émaillé. La tête dans les saules. Un gros seau qui fait le job, en attendant que la baignoire insolite se reconvertisse en cuvette de verdure filtrante.

Approvisionnement en eaux

Eau potable Une source captée, aménagée, réputée, analysée, une petite voiture, un lot de bidons alimentaires. 60 litres par semaine, plus ou moins. Eau à laver, linge, vaisselle, choses et autres Une source à 50m du Bout-de-bois, captée, aménagée, propre, non analysée, considérée par les éleveurs comme très bonne pour les chevaux et les escargots... Multiplication des points d'approvisionnement Seconde source potable dans le secteur, pas de tarissement en été. Aménagement moins satisfaisant de cette seconde station, tuyau PVC abimé... Récupération d'eau de pluie dans tous récipients découverts. Conséquence collatérale : récupération de feuilles, de brindilles et autres insectes suicidaires en l'absence de filtres. Les chiennes y boivent, les chats y jouent, la mioche ... non je préfère ne pas savoir. Les gens du hameau m'ont cordialement invitée à venir me servir sur leur robinet extérieur relié au réseau en cas de besoin (suite à la pollution au gasoil de

w.i.p. 2020

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Il y a eu les premières idées la première année, suite au passage des élagueurs d'Enedis. Une cabane pour un errant bricoleur cher à mon cœur. Oui, non, là, ici, comme ça, comment on fait le toit, et la pluie, elle rentre par là ? Viens, on se laisse du temps pour y penser. On tourne, on arpente, on regarde le Bout-de-bois sous toutes ses coutures. Chaque arbre est observé dans sa situation, la portée de son ombre, son utilité dans la dynamique ou dans les installations. Et on recommence. Le sol est tâté, la végétation basse relevée. Travail insensible pour les curieux qui passent. Intense réflexion qui nous demande des litres de café. Les idées transmutent, bonifient, se gorgent de notre expérience. Pendant ce temps la toile de notre tente vieillit. On reprend les copies, et on rature, on corrige, on accentue les meilleurs traits des meilleurs croquis. On pèse l'impact écologique, économique de chaque matériau en regard de l'énergie qu'on est prêt à donn

Capricuve

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La niche estivale des chiennes est devenue la bergerie hivernale de nos deux chèvres d'appoint. Cette vieille cuve de récupération d'eau a été découpé sur le dessus (un simple agrandissement du trou d'origine), pour pouvoir conserver sa fonction de cuve, au cas où. Pour servir d'abri, on bascule la cuve. Avantage : c'est léger et ça se déplace en roulant. Après avoir écrasé toutes les fougères installé l'abri, c'est au tour des chèvres de rejoindre le nouveau spot. Presque cinq ans qu'on s'entraine au capricross, Blacky et moi ! On accueille ponctuellement ces deux chèvres au Bout-de-bois car les ronces font partie de leur alimentation hivernale. J'débroussaille pénard quoi.

Le tas de palettes

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En haut, de gigantesques palettes de deux mètres par trois. Elles sont la structure du plancher dans la partie enfant de la tente et la véranda. Très facile à caler à l'horizontal, même seule. Leur déplacement nécessite 4 bras pour être confort. Palettes moins massives, bardées en partie de vieilles planches, en face nord de la réserve de bois de chauffage. Ici les palettes au sol sont du format le plus banal, pour mettre le bois bien à l'abri de l'eau.  Parfois, on se heurte au côté obscur de la paysannerie. Feu notre pont-levis, premier hiver. Ici, il faut regarder la palette debout contre la bâche-baie vitrée : il y en a une seconde dans le prolongement, à droite du photographe. D'abord simple soutien de l'encadrement de la porte d'entrée, elles sont aujourd'hui bourrées de couvertures de laine et fermée avec des vieilles portes et vieilles planches pour former une paroi pleine et isolante. Merci à un copain militaire belg